LIENS À RECRÉER |
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La troupe David est sans doute l’une des rares troupes E.I. des années soixante à pouvoir se mesurer avec les meilleures troupes des autres mouvements scouts, notamment du fait de son développement systématique du Scoutisme viril et technique. Chaque année était d’ailleurs organisée, à Jambville, la propriété des Scouts de France, une rencontre-challenge entre les troupes « première Paris » de tous les Mouvements, et les E.I. n’ont pas eu à rougir de leurs performances.
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Totémisé Marmotte, Daniel Robinsohn a tout d’abord fait sa carrière de scout à David. Devenu permanent régional à la rentrée 1967, il remplace Renne à la tête de la branche cadette de 1969 à 1972. Mêlé de près à l’agitation que connaît le Mouvement en 1973-75, il sera membre du Conseil d’Administration à partir de la fin des années soixante-dix, et en assumera la présidence à la fin de la décennie suivante. Après avoir été responsable commercial des éditions Casterman, il a dirigé sa propre entreprise commerciale à Paris, et il préside avec son épouse Renée au fonctionnement de l’A3, l’Association des Anciens et Amis des E.E.I.F..
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Au Centre Communautaire de Paris, qui se trouvait alors Boulevard Poissonnière, et où se trouvait le siège du D.E.J.J
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Cette reconnaissance interviendra le 18/11/66. A noter qu’on en parlait depuis les années trente.
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On se souvient qu’une démocratie existait aux E.I., puisque les Commissaires nationaux étaient élus par les Chefs depuis 1945 (pendant la période 1955-1961, ce droit de vote avait été reservé aux Commissaires locaux et régionaux). Il s’agissait cependant d’une démocratie « limitée », dans la mesure où en général il n’y avait qu’un seul candidat, présenté par la direction nationale. De plus, seule une partie du Comité directeur était élue, les autres membres étant choisis par cooptation. Paradoxalement, la démocratisation de l’élection du Comité Directeur est concomitant à l’arrêt de la désignation des Commissaires nationaux, et surtout du Commissaire général, par l’Assemblée Générale. Désormais, le C.G. sera désigné par le CD., ce qui renforce donc l’importance de ce dernier.
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Lettre de Jean Lévyne au Comité Directeur, 20.9.66., CR. 14. Jean Lévyne, totémisé Musaraigne, avait été l’un des responsables de la Province île de France au début des années 60.
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C’est ainsi que M. ventura recueille le maximum des voix, ses compétences de trésorier étant reconnues par tous. De même, les personnalités de Marguerite Klein ou de Manitou ne sont pas contestées.
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Totémisé Moustique, Henri Ourman, qui avait été très actif aux E.I. depuis son entrée à la fin de la guerre, a été Inspecteur d’Académie en région parisienne.
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Fait caractéristique, le compte rendu de la région sud-méditerranée devant le C.N. (Bulletin Intérieur des Cadres, n° 4, 9/1966) s’achève par un appel « au développement des activités d’extension en milieu populaire, en collaboration avec le D.E.J.J ».
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D’autant plus difficile que le D.E.J.J., soutenu de manière préférentielle sur le plan financier par le F.S.J.U., dispose de permanents régionaux professionnels, leur permettant un haut niveau de développement. Ayant joué à fond l’orientation communautaire, les effectifs du D.E.J.J. atteindront leur summum au milieu des années soixante-dix, dépassant sans doute du double ceux des E.I. Cependant, il sera touché par une désaffection croissante dès la fin de la décennie, et ses effectifs ne sont plus aujourd’hui que de quelques centaines.
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Lynclair était, lui aussi, un professionnel de l’éducation, mais il était bénévole dans le cadre du Mouvement.
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La présidence du Scoutisme Français est tournante, assumée chaque année par une association différente. D’après le témoignage de Raphy Bensimon, les E.I., jusque-là, avaient toujours renoncé à leur tour, et il aurait été le premier E.I. président du Scoutisme Français. Il semble cependant que Jacques Pulver avait assumé cette fonction en 1960-61 (témoignage de Monique Pulver).
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Née en Egypte, lona Lévy a été à la Compagnie Ruth, puis est devenue responsable provinciale éclaireuse, avant de travailler à Ségur comme Responsable Nationale Eclaireuse de 1967 à 1969. Membre du C.A. de 73 à 76, elle est l’épouse de Gilbert Dahan.
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Ancien E.I. du Maroc, Gilbert Dahan est arrivé en 1967 en France pour poursuivre ses études. Il remplace aussitôt Berger, qui fait alors son Alya. Permanent jusqu’en 1974, puis au C.A. pendant un an, il a été mêlé de très près aux différentes évolutions du Mouvement pendant toute cette période. Spécialiste du Moyen-âge juif, il est aujourd’hui directeur de recherche au C.N.R.S et chargé de conférences à l’Ecole pratique des hautes études.
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D’origine marocaine, mais élevé en Israël, IItshak Zouzout représente une nouvelle espèce de shlihim, à savoir des envoyés israéliens qui ne sont pas ou peu passés par le mouvement, contrairement à leurs prédécesseurs du type Autruehon ou Carpe. ltshak Zouzout est aujourd’hui directeur d’un lycée à Ramlé, dans la région de Tel-Aviv.
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Christian Guesdon, qui s’occupera également, vers la fin de son passage à Ségur, de l’entretien matériel des propriétés du Mouvement, est malheureusement décédé en 1986.
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Ce n’est pas un hasard si c’est justement à la fin des années 60, notamment après mai 68, que le mot « pédagogie » vient remplacer le mot « éducation ». Il s’agit entre autre de l’influence de la psychologie, qui pénètre les différentes sciences humaines en force, ainsi que des recherches menées par des groupements extra-scolaires dans les domaines de l’animation active. Cf. Antoine Prost, op. cit., p. 65, pour le parallélisme avec les transformations dans l’éducation formelle.
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Philippe Lévy « Cachalot », Arlette et Jacques Ackerman « Griffon », et Jean Frankforter « Cormoran ».
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(Doris Bensimon, Les Juifs de France… op. cit., p. 165.)
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Intitulée « Pour la Paix au Proche-Orient » , elle présentait une vision du conflit pro-israélienne, mais modérée, dans la ligne, vraissemblablement, des opinions prédominantes parmi les dirigeants E.I.
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Rapport moral 1967, C.R. 25
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A la suite , semble-t-il, d’une démarche du Sénégal lui-méme (témoignage d’Alain Silberstein)
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Comité National des Associations de Jeunesse et d’Éducation Populaire
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De façon très significative, les territoires de Judée, Samarie et Gaza, ainsi que le plateau du Golan, conquis par les Israëliens en 67, ne sont pas inclus dans la carte, reflet de la modération de l’équipe dirigeante sur ce thème. Nous n’avons pas retrouvé d’exemplaire de cette méthode, mais on trouvera dans le dossier CR. 145 la carte manuscrite dans le dossier de préparation.
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Totémisé Hippocampe, Alain Greilsammer a été très actif aux El., particulièrement pendant la période « Raphy », où il s’occupait avec Gilbert Dahan des publications de haut niveau. Monté en Israël, il est aujourd’hui professeur de Sciences Politiques à l’Université de Bar Ilan.
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Le Congrès Sioniste, assemblée représentative de l’Organisation Sioniste Mondiale fondée par Herzl, s’est réuni pour la première fois à Bâle en 1897.
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c.f. : Bulletin Intérieur des Cadres, n° I 7, 9/70
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Contrairement aux E.I., le D.E.J.J. réussira un projet d’Alya collective en 1975 : Aleh Dejj.
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Sur le contexte général de la période et le détail des événements, on consultera bien entendu les deux tomes de Hamon et Rothman, Génération, Paris, 1987.
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(Bulletin Intérieur des cadres, n° 9, sans date – fin juin 1968)
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Roger Berg in Histoire des Juifs en France, sous la direction de Bernhard Blumenkranz, Toulouse, 1972.
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Pour un exemple sur les conséquences de Mai 68 sur un secteur précis de la société, cf. Pascal Ory, L’entre deux-mai, Histoire culturelle de la France – Mai 1968 – Mai 1981, Paris, 1983. Pour l’aspect éducation formelle, cf Antoine Prost, op. cit., pp. 117 à 168.
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On se rappelle que la Branche louveteaux est devenue coéduquée depuis déjà plusieurs années.
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On a parfois tendance à oublier que l’un des facteurs déclenchant des événements de mars, puis de mai 1968 se trouve dans le conflit qui opposaient les étudiants aux directions de Cité Universitaire quant à la possibilité des garçons de pénétrer dans les bâtiments des filles.
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c.f. : Bulletin Intérieur des Cadres, n°12, 5/69
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Fille d’Yvette et Lucien Fayman, elle est installée aujourd’hui à Toulon où elle directrice du département des ressources humaines de La Poste.
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Témoignage d’Alain Silberstein, Hocco. Membre de la promotion des Bâtisseurs, puis responsable du groupe Chema lsraël, Alain Silberstein a fait partie de nombreuses équipes nationales et a joué un rôle important dans l’évolution des E.I. depuis trente ans. Il est responsable notamment du graphisme d’un certain nombre d’insignes. Architecte d’intérieur, associé avec son épouse Sylvie, il vit depuis vingt ans à Besançon, dont il est responsable de Groupe local, et où il a créé une ligne de montres réputée internationalement.
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Avec la complicité de J.P. Bader, qui dirige un camp branche cadette sur le même terrain et a accepté de donner sa caution pour la tenue du camp.
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Les enseignants de Judaïsme sont, en général, des anciens E.I. Citons parmi eux: Armand Abécassis (Cèdre), devenu l’un des penseurs juifs les plus importants de la communauté juive de France et qui réside toujours à Strasbourg; Gérard Braun (Orvet), E.I. de Strasbourg lui aussi, installé aujourd’hui en Israël; le Rav Elyaou Abitbol, ancien E.I. du Maroc et directeur de la Yéshiva des étudiants à Strasbourg; le Rav Joseph Sitruk (Taureau), alors grand rabbin de Strasbourg et aujourd’hui grand rabbin de France.
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Elles seront même imitées par d’autres organismes. Il faut signaler le rôle central que joue Gilbert Dahan dans la conception de ces brochures, ainsi que celui de J.P. Bader.
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Introduction au fascicule Birkat hamazone, 2ème édition, mars 1971.
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Il est intéressant de noter qu’un phénomène parallèle s’est produit dans le Judaïsme lorsque les Guéonim, au VIIIe siècle, ont commencé à mettre par écrit le texte de la prière, provoquant peu à peu la cristallisation d’un texte de prière déterminé et la disparition de toute créativité (c.f.: Elbogen, Der jüdische Gottesdienst in seiner geschichtlichen Entwicklung, Berlin, 1931).
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Ainsi, au Conseil National de 1977, éclatera une dispute lorsque les animateurs de Nice, au cours de la prière du matin, voudront rajouter un texte qui n’est pas dans « le manuel ». Certains, au nom du minimum commun, voudront l’empêcher, « puisque ce n’est pas imprimé »!
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Dossier Conseil National n°2 « pédagogie du Judaïsme », Contact 73-2.
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L’ensemble des Mouvements Scouts sont touchés par le même phénomène, et y « résistent » plus ou moins bien. Voir, par exemple, P. Laneyrie, op. cit., pp.339-379.
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Collèges d’enseignements secondaires. Cf. Antoine Prost, L’enseignement en France, 1800-1967, Paris, 1968, pp. 422-423. Sur le processus de décision, cf A. Prost, EducationŠ, op. cit., pp. 98 à 116.
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Témoignage de Charles Zylberman. Il a été l’un des promoteurs de cette branche. Depuis la fin des années soixante-dix, il dirige une importante agence de voyages à Paris.
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Ces dernières années, on assiste à une relance d’une branche aînée, destinée à ceux qui ne désirent pas animer, et qui connaît un certain succès.
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Ancien E.I. du Maroc, Jacky Pinto monte en Israël en 1965. De 1972 à 1974, il assume une Shlihout aux E.I. qui sera contestée sur certains de ses aspects. Il est aujourd’hui un joumaliste influent de l’A.F.P
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Projet de la Branche Moyenne pour 1968-69, Bulletin Intérieur des Cadres n° 9.
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Cité par Kergomard et François, op. cit., p. 20.
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C’est en 1970 que le mouvement adopte la chemise couleur « havane », complété par un pantalon marron, qui sera rapidement remplacé par le jean.
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Le conflit des générations s’exprime aussi dans la contestation vis-à-vis des anciens du Mouvement. Au rassemblement du 50e anniversaire, certains n’hésiteront pas à siffler le discours de Denise Gamzon pour en contester la teneur « antigauchiste ».
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Nom inspiré à la fois du texte de Castor « Je voudrais que tu sois un bâtisseur », et du folio 64 du traité Berahot du Talmud, qui commentant le verset biblique: « tous tes enfants seront les disciples de l’Eternel et grande sera la paix de tes enfants » (Isaïe, 54, 13), précise : « ne lis pas tes enfants (banaikh) mais tes bâtisseurs (bonaikh). »
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C.f.: « Scoutisme, finalités et perspectives », Contact n°71-1, 1/71.
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Cf. A.S. Neill, Libres enfants de Summerhill, Paris 1970, ainsi que Pour ou contre Summerbill – un dossier, Paris 1972.
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Dossier n’1 du Conseil National, la pédagogie de la liberté, in Contact n° 73-1.
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Pour une autre approche de Summerhill et de la pédagogie de la liberté, cf. Yolande Furth, « Summerhill » et l’éducation juive: une confrontation entre pédagogie juive et pédagogie générale, Hamoré, n° 94, janvier 1981.
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Témoignage de Raphy Bensimon. Il semble que l’amitié et la complicité entre les deux concurrents étaient suffisamment fortes pour permettre de surmonter les déceptions inévitables de l’un d’entre eux.
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CR.25. A noter que cette décision, qui allait avoir de nombreuses conséquences, paraît avoir été prise par les seuls huit membres du C.A. présents ce jour là, 10 autres administrateurs ayant été absents. Il est vrai qu’une commission chargée de ce problème avait préparé la séance.
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Totémisée Coccinelle, Yolande Klein est une petite cousine de Marguerite Klein. Responsable nationale B.C. de 1972 à 1975, elle épouse le Rabbin Marc Furth, et habite aujourd’hui à Jérusalem, où elle travaille dans le domaine de l’éducation.
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Michel Fayman est le fils de Lucien et Yvette Fayman et frère jumeau de Nicole. Il avait été le responsable de la troupe David. Il est installé aujourd’hui à coté d’Aix-en-Provence où il est menuisier.
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Totémisé Okapi, Roland sera responsable B.M. en 73-74. Il est aujourd’hui commerçant à Paris et responsable communautaire. Il est marié à Danièle Lévy-Bellahsen, la soeur de Iona, qui est aujourd’hui directrice d’une importante maison d’enfants à problèmes située en région parisienne.
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Un exemple de cette ambiance qui n’est pas sans conséquence sur les manières de réagir à l’intérieur du mouvement. Une grande partie des animateurs s’engage, à titre personnel, dans les grèves très importantes du printemps 1973, autour de la Loi Debré, réduisant les possibilités de sursis d’incorporation, et de la réorganisation des premiers cycles (introduction du D.E.U.G. en trois ans maximum).
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Il semble que l’équipe de Ségur ait repoussé les propositions de la région Sud et de la région Est, qui proposaient chacune des terrains dans leur région. Nous n’avons pu établir si les raisons en ont été techniques, ou par peur de tomber sous la coupe de deux régions très dynamiques. Toujours est-il que la région Est organisa ostensiblement en 1972 son propre « 49e », qui réunit avec succès en Bretagne, dans la région d’Auray, plusieurs centaines d’E.I. alsaciens et lorrains.
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Sur 147 dossiers de volontaires en 1973, 7 proviennent d’E.I. ou d’anciens E.I. Voir la thèse d’Erik Cohen, « Les Volontaires juifs de France durant la guerre de Kippour, contribution à l’étude des relations Israël-Diaspora, Nanterre, juin 1986 (non publiée).
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Doris Bensimon, p. 170. Un exemple, parmi beaucoup d’autres : les animateurs E.I. de Nancy, avec les étudiants de l’U.E.J.F., sont sollicités par l’association France-Israël pour coller des affiches pro-israéliennes sans concessions. Ils s’exécutent, mais en ayant soin de coller à côté des affiches qu’ils ont fait imprimer eux-mêmes, sur lesquelles figure un appel à la reconnaissance mutuelle des peuples Israëlien et palestinien !
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Parlant de l’attaque syro-Égyptienne contre lsraël, Michel Jobert avait déclaré qu’il ne pensait pas que le fait de vouloir rentrer chez soi constituait une agression.
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Signalons cependant que quelques semaines plus tard, Jacky et l’équipe de Ségur feront paraître une nouvelle (et éphémère) publication : le BIB (Bulletin Israël Bimensuel), qui sera tout entier consacré à la guerre de Kippour vue du point de vue israélien.
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Ce qui constituait une erreur de procédure, le rapport moral ne faisant que constater des événements passés. Quant au rapport financier, il ne serait venu à l’idée de personne de remettre en cause la gestion de Maurice Ventura.
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Le C.A. retire également la responsabilité de la Branche Perspective à Jacques Pinto.
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Malgré la crise, le Mouvement maintient en gros ses effectifs cotisants entre 1971 (2295) et 1975 (2194)
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Compte rendu de la réunion du 20/10/74 à Marseille, CR90.
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Roland Bellabsen était devenu responsable national Branche Moyenne depuis septembre 1973.
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Aujourd’hui Martine Yana. Elle a été enseignante à l’Université d’Aix-en-Provence, et l’une des responsables de la Radio juive de Marseille. Elle dirige aujourd’hui le Centre Fleg à Marseille. Son mari, Clément, qui a été l’un des piliers des E.I. de Marseille, est le directeur du C.R.I.F. Provence-méditerranée.
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Dans les locaux même de l’avenue de Ségur, avec l’autorisation tacite des dirigeants du Mouvement. L’un des invités sera le chanteur Evariste, prototype de la chanson engagée dans cette période.
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Réunion des permanents du 4/11/74. CR90.
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C’est intéressant de constater que les « contestataires » revendiquaient une situation qui existait avant 1966, mais qu’aucun d’entre eux n’avait connue.
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Le 13 novembre, Yasser Arafat est reçu à l’Assemblée Générale de l’O.N.U., et le 22, soit deux jours avant l’A.G. des E.I., le droit à l’indépendance du peuple palestinien est reconnu.
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Raphy Bensimon assiste à l’A.G. en tant qu’ancien C.G.
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C.R. de l’A.G. du 24/11/74 à Herbeys. CR26.
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Les nouveaux statuts, adoptés en 1973, prévoyaient que le C.A. serait désormais renouvelé chaque année par tiers.
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Parmi les élus : Gilbert Dahan, Roland Bellahsen, Martine Chiche, Emilie Wormès et Michel Chousterman.
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Directeur d’école juive à Madrid, il a été recruté par Raphy. Handicapé par sa méconnaissance du terrain, n’étant pas E.I., il quitte ses fonctions au bout d’une année pour entrer au Consistoire de Paris, où il assume de hautes responsabilités administratives.
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La réforme ayant été menée par Yolande, le nom de louveteaux a disparu. L’organisation des cantonnements louveteaux, dont le nombre avait été multiplié par Daniel Robinsohn, était une charge administrative extrêmement lourde pour le QG. Elle garantissait en même temps des revenus importants au Mouvement.
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