Les EI ont fait le choix d’une éducation juive ouverte, respectueuse du choix individuel de chaque membre. Le « minimum commun » de pratiques (cacherout, offices, respect du Chabbat et des fêtes…) permet à des jeunes d’horizons religieux différents de trouver leur place dans le mouvement.
« Le Minimum commun […] constitue ce qu’on peut appeler un test de tolérance. En effet, il demande au pratiquant d’admettre auprès de lui quelqu’un qui l’est moins et la réciprocité est aussi vraie. Ceci n’est-il pas au plan israélite ce que la fraternité est sur le plan scout ? Il faut aux Juifs autant de tolérance pour s’accepter les uns les autres qu’aux non-Juifs pour vivre côte à côte sans distinction de race ou de religion.» (Marguerite Klein)
- Le minimum commun : un moyen de vivre ensemble
– Le minimum commun : un minimum tout court
- Le judaïsme vécu aux EI n’est pas le minimum commun !
« Nos pratiques sont toutes inspirées par ce vitalisme juif qui consiste à sanctifier, purifier, illuminer la vie de tous les jours, en faire une vie harmonieuse, une vie unie.» (Robert Gamzon, Tivliout)
Plus d’informations ici : Pluralisme et minhag EI